admin1143 / 31 mai 2020
Je remarque dans cet article que le gouvernement fédéral de l’individu en question ne garantit pas votre gouvernement fiable et pacifique. La période du royaume romain n’était autre que celle de la république romaine. En réalité, leurs problèmes internes ont augmenté, leurs crimes beaucoup plus. La grande fierté du républicanisme, l’héroïsme et les vertus masculines ont été remplacés par la vanité la plus scandaleuse, l’adulation la plus vile, la cupidité la plus audacieuse, probablement l’indifférence la plus nette pour la prospérité nationale. En quoi un remède dans l’hérédité du trône? N’était-ce pas considéré comme l’histoire de bonne réputation de la maison d’Auguste? Était-ce un Domitien qui n’était pas le garçon de Vespasian, un Caligula le gamin de Germanicus, un Commode l’enfant de Marc Aurèle? En France, c’est un fait, la dernière dynastie s’est débrouillée seule pendant 8 siècles, mais les individus étaient-ils moins tourmentés? Qu’advient-il des dissensions intérieures? Qu’est-ce que les guerres à l’étranger menées pour les prétentions et les droits de succession légaux ont permis de créer les alliances de cette dynastie avec des nations étrangères? À partir du moment où une nation épouse les recherches effectives d’un seul ménage, elle est obligée d’intervenir dans de nombreuses préoccupations qui, toutefois, constitueraient pour elle une extrême indifférence. Nous avons maintenant rarement réussi à développer une république parmi nous, malgré que nous l’ayons essayée moins que beaucoup de formes, plus ou moins démocratiques. Une fois la sérénité d’Amiens, Napoléon avait pris une décision entre les méthodes républicaine et monarchique; il pourrait faire pendant qu’il est heureux. Il aura toutefois comblé la plus petite opposition. La citadelle de la liberté lui fut confiée; il jura de le garder; et, gardant sa garantie, il aurait dû accomplir la pulsion de la nation qui le jugeait seul compétent pour résoudre le grand dilemme de la liberté publique dans une large mesure. Il aurait pu se couvrir d’une incomparable beauté. Plutôt que cela, que fait-on aujourd’hui? Ils suggèrent d’aider à faire de lui un foyer complet et héréditaire de votre énergie fantastique dont il a été créé le gérant. Est-ce le vrai désir ainsi que la véritable fascination de votre tout premier consul lui-même? En fait, je n’y crois pas. Il est vrai que leur état était en train de s’effondrer et que, par conséquent, l’absolutisme l’a entraîné au bord de l’abîme. Mais que déterminons-nous exactement à partir de cela? Ce que tout le monde comprend comprend que les systèmes politiques sont à la merci d’affections qui ne peuvent être guéries que par des traitements agressifs; qu’il faut parfois un dictateur pour sauver un instant la liberté. Les Romains, qui envient cela, ont néanmoins reconnu la nécessité de ce pouvoir suprême à des intervalles de temps. Mais comme une solution agressive a stocké un patient, doit-il devenir une surveillance quotidienne des remèdes agressifs? Fabius, Cincinnatus, Camillus ont sauvé Rome de l’exercice d’une force définie, mais ils ont néanmoins renoncé à cette force lorsque cela était réalisable; ils pourraient avoir tué Rome expérimenté ils ont continué à le manier. César était le premier idéal pour détenir ce pouvoir: il en devint le patient, mais la liberté fut abandonnée pour plus tard. Par conséquent, tout ce qui a été mentionné aux alentours de cette journée ne prouve que le besoin de dictatures tempo- raires dans les crises expresses, bien que l’organisation de votre pouvoir durable et imprudent.
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