admin1143 / 30 décembre 2019
Mais pourquoi, au nom des dieux immortels, n’avez-vous pas ajouté à votre proposition, Silanus, que, avant d’être mis à mort, ils devraient être punis avec le fléau? Était-ce parce que la loi de Porcian l’interdit? Mais d’autres lois interdisent la con- citoyens démnés à être privés de la vie, et leur permettre de s’exiler. Ou était-ce parce que la flagellation est une peine plus grave que la mort? Pourtant, ce qui peut être trop grave, ou trop sévère envers les hommes reconnus coupables d’une telle infraction? Mais si la flagellation soit plus douce punition que la mort, comment est-il cohérent de respecter la loi en ce qui concerne les point, quand vous ne le tenez pas compte de la plus grande? Mais qui, on peut demander, blâmera toute sévérité qui sera décrétée contre ces parricides de leur pays? Je réponds à cette époque, au cours des événements et la fortune, dont le caprice gouverne les nations, peut la blâmer. Tout ce qui tombera sur le les traîtres, tomberont sur eux justement; mais c’est à vous, pères conscrits, de bien considérer ce que vous décidez d’infliger aux autres. Tout précédents productifs d’effets pervers ont provenaient de ce qui était bon; mais quand un gouvernement passe dans le les mains des ignorants ou sans principes, tout nouvel exemple de sévérité infligé à objets de service et appropriés, est étendu à ceux qui sont impropres et indéfinis en servant. Les Lacédémoniens, quand ils ont vaincu les Athéniens, semblent a souligné trente hommes pour gouverner leur état. Ces trente ont commencé leur administration par mettre à mort, même sans procès, tous ceux qui étaient notoirement méchants, ou publiquement détestable; des actes auxquels le peuple se réjouissait et exaltait sa justice. Mais après- Quand leur puissance sans loi augmenta progressivement, ils procédèrent, à leur gré, bien sûr, tuer le bien et le mal sans discernement, et terrasser tous les terroristes; Et ainsi L’État, accablé et asservi, paya une lourde peine pour son imprudence de conduite. tation. Dans notre propre mémoire aussi, quand le vainqueur Sylla ordonna à Damasippe, et d’autres de caractère similaire, qui se sont levés en détresse leur pays, pour être mis à mort, qui n’a pas recommandé la procédure? Tous s’exclamèrent que méchant et les hommes factieux, qui avaient troublé l’État avec leurs pratiques séditieuses, avaient eu raison ont perdu leur vie. Cependant, cette procédure marquait le début d’une grande cabanon. Car chaque fois que quelqu’un convoite le manoir ou la villa, ou même l’assiette ou par un autre, il exerça son influence pour le faire figurer parmi les candidats écrit. Ainsi, ceux à qui la mort de Damasippe avait été un sujet de joie, ont été peu de temps après traînés à mort eux-mêmes; il n’y a pas eu de cessation de le massacre, jusqu’à ce que Sylla ait saturé tous ses partisans de richesses.
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