admin1143 / 19 décembre 2019
Maints secteur d’activité économique parviennent à se faire aujourd’hui pourvoir des subventions de la part des politiques. En elles-mêmes, ces indemnités ne sont pas pernicieux… pour autant qu’ elles consolident l’enseignement, l’apprentissage, ou l’innovation. Il faudrait que cela soit rester l’unique objectif de la contribution des finances publiques. Les subventions sont hélas souvent décernées à des secteurs dépassées qui ont refusé d’changer avec leur époque. On peut citer les mines de charbon ou les chantiers navals. Les dons sont de plus bien régulièrement données aux projets favoris de députés qui s’imaginent que leurs impressions comptent plus que celles du marché. Je pense parmi d’autres aux autobus roulant au gaz naturel ou au tourisme. Ces aides sont bien fréquemment allouées à des secteurs ayant la préférence des politiques, qui abhorrent le libre marché et ont donc besoin d’être secourus de leurs ennemis. Quelqu’un a-t-il adjugé des subventions à Apple pour qu’il montre sur le marché un produit révolutionnaire comme l’iPhone, provoquant quasiment la ruine d’une société comme Nokia. Quelqu’un a-t-il attribué des subventions à un fabricant de voitures tel que BMW afin qu’il augmente de manière étonnante sa part de marché en concevant des véhicules plus séduisants pourvus de moteurs moins gourmands. Les subventions tentent de discipliner, voire de diminuer le libre-arbitre des individus. Le principe des subventions agricoles européennes en est la principale illustration. La conjugaison de primes agricoles pour les agriculteurs nationauxet de charges à l’importation pour les compétiteurs étrangers enraye le choix des acheteurs d’Europe et les impose à verser tarifs plus élevés que si le marché était libre. Le libre marché est la meilleure façon d’exhorter les sociétés à innover. Le secteur qui n’y arrive pas est condamné à au trépas. A l’inverse, celui qui parvient ravir les les clients grâce du prix, de la qualité et du service reçoit la consécration. La meilleure manière de pervertir cette mécanique de écrémage consiste à dispenser des subventions qui récompensent l’oisiveté des entreprises, lorsque le libre marché encourage leur force.
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